samedi 30 juillet 2011

LES FRÈRES TARDIEU : HAÏTIENS KINGS DE LA MODE

Patrick et Fabrice Tardieu sont né en Haïti à Delmas. De milieu aisé, il ont grandi confortablement, leurs parents ayant un business d’import-export lucratif.

Patrick, jeune prodige du football haïtien, a quitté le pays à 16 ans pour aller à Bruxelles poursuivre suivre ses études au collège européen en se préparant en parallèle à une carrière de footballeur professionnel. En 1993, à 19 ans, il devient le premier haïtien sélectionné pour la league de soccer US (en Floride du Sud - Fort Lauderdale Strikers). Il monte pour préparer l’après-football un business d’import-export entre Haïti et Miami : Tarimex.

Fabrice, de 10 ans son cadet a suivi son frère aîné dès ses 13 ans, après un passage à la Sunset Senior High School de Miami, il rejoint l’Université Européenne de Paris. Il performe bien décroche un excellent job dans le monde de la mode et de la haute couture chez le prestigieux Emporio Armani où il dirige les ventes en France et dans les Antilles françaises.

C’est à partir de ce moment là que les deux frères décident d’allier leur passion et leur travail quotidien : c’est la naissance de la marque « Bogosse » !


Fabrice Tardieu: “Doing business with family is very important so I think that we are very lucky to be able to pull this together.”

Patrick Tardieu: “He's my best friend. He's one of the persons that I love the most on earth, so it's just fun and we are going to make it big together.”

Le siège Bogosse, à Miami, est distribuée aux US et dans le Sud de la France (Saint Tropez et à Cannes). Bogosse c’est du haut de gamme : au bamo 150 euros (165 dollars) la chemise.

Pour découvrir le style Bogosse et les frères Tardieu





Site de Bogosse : Les frèsres Tardieu


Jean Beausejour - Un digne représentant d'Haïti pour le mondial 2010

LES TÉLÉS HAITIENNES

La Station Des Stars CLIC ici

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Taptaptv is a haitian tv station playing movies, music, news and other live shows of interest.
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mercredi 27 juillet 2011

LES ARTISTES HAITIENS

Une icône culturelle: Un des premiers modèles noirs super d'Amérique

IloveJANY from Fernando Teixeira on Vimeo.


LISTE DES ÉCRIVAINES HAITIENNES
Fleur de Mai - Gérard Dupervil

Nemours Jean-Baptiste & Webert Sicot


Best haitian music Nemours Jn Baptiste Universal Kompas

coupe cloué - marie jocelyne

Coupe Cloue interview

Gemini All Stars band - Mourir Aupres De Mon Amour (1983 )

Rodrigue Milien - Confession


HMI:TOTO NECESSITE "IF I WAS PRESIDENT"

LISTE DES VIDÉOS HAITIENS

Haïti, un pays à la dérive

Les meilleurs vidéos sur Haiti

We thought we were the better of the blackies


Haitian on Super Idol Taiwan - 06.25.2011

Mike Yard "Welcome 2 Haiti" @ Stand Up for Haiti

"Se yon master brain ki fe plan pou nou ka batay antre nou." - Robert St Fleur


Wyclef Jean: An Interview into the man. [en kreyol]

COEUR D'HONNEUR 18 ME 2011 MOUVMAN LAKAY

The Day I Found Out I Was Haitian

The Inauguration of Francois 'Papa Doc' Duvalier 1957

Haitian Cartoon

mercredi 20 juillet 2011

La Bible et l'Egypte ancienne(L'afrique noire ou l'Aethiopia, l'Ethiopie

Le prophete Mukungubila nous explique que la civilisation a eu a commencer en Afrique noir de part la volonte du Createur. La suite sur http://www.videosduministeredelarestauration.com

mercredi 6 juillet 2011

René Depestre
René Depestre est né à Haïti en 1926. Il est poète, romancier et essayiste, son écriture est pleine d'images fortes, parfois surréalistes. A l'âge de 19 ans, il fit paraître son premier recueil de poésie, Étincelles, en 1945 et il fut ainsi reconnu très rapidement. Il fonda un hebdomadaire La Ruche de 1945 à 1946 avec trois amis : Baker, Alexis, et Gérald Bloncourt.
Il poursuivit ses études de lettres et sciences politiques à la Sorbonne. A cette période, Depestre fréquenta les poètes surréalistes français et des artistes étrangers à Paris, ainsi que les intellectuels du mouvement de la négritude.
Il participa activement aux mouvements de décolonisation en France, ce qui lui valut d'être expulsé de France en 1950. Il entreprit alors son exil à travers le monde : il partit à Prague, à Cuba et aussi en Autriche, puis au Chili, en Argentine et au Brésil...etc.
Il publia Le Mât de Cocagne, son premier roman à Paris, en 1979. L'année suivante, il publia Alléluia pour une femme-jardin, qui reçut le Prix Goncourt de la Nouvelle en 1982. Et il publia le roman Hadriana dans tous mes rêves en 1988, qui reçut de nombreux prix littéraires comme le prix Théophraste Renaudot, le prix de la Société des Gens de Lettres, le Prix Antigone de la ville de Montpellier et le prix du Roman de l'Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique. René Depestre obtint la nationalité française en 1991. Il vit aujourd'hui dans le Sud de la France.

La Vérité sur Saint-Domingue et les mulâtres . (Signé : M. D. A. L. F., propriétaire en France et à Saint-Domingue.)

La Vérité sur Saint-Domingue et les mulâtres . (Signé : M. D. A. L. F., propriétaire en France et à Saint-Domingue.)

MES LIENS PRÉFÉRÉS

Garry Blaise vidéos

Attention Garry Blaise
Solidarité Manichoise
Negritude

Frankétienne: le pilier d'Haïti

Frankétienne - "La prophétie du poète"
République des artistes

Haiti Recto Verso

IMAGES AÉRIENNES DE PORT-AU-PRINCE APRÉS LE SÉISME
Images aériennes de Port-au-Prince aprés le séisme - Le Parisien
Les garde-côtes américains ont survolé la capitale haïtienne après le séisme. Alors que des centaines de bâtiments sont effondrés, les habitants se massent sur les routes dans la crainte de répliques.
Haïti : le journaliste vedette de CNN en a-t-il trop fait ?
JOSEPHINE BAKER: UNE STAR MEMORABLE, HAÏTIENNE PAR SA MÈRE
STARS D’ORIGINE HAITIENNE 1
HAITIAN AMERICAN STARS
LISTE PARTIELLE DES GRANDS BÉNÉFICIAIRES DE PRÊTS À L’ONA

LIENS SUR HAÏTI

Communauté haïtienne en chiffres

STARS D’ORIGINE HIAITENNE

STATISTIQUES SANITAIRES MONDIALES

L'AIDE MÉDICALE CUBAINE EN HAÏTI
STATISTIQUE SUR LES MÉDECINS HAITIENS PAR 1000 HABITANTS EN HAÏTI

BIENVENUE SUR LE SITE DE L'UNION DES MÉDECINS HAITIENS
LISTE D'ORGANISMES HAÏTIENS À MONTRÉAL

PEINTRES HAITIENS


Peinture haïtienne


COMMUNAUTE HAÏTIENNE AUX ÉTATS-UNIS


COMMUNAUTE HAÏTIENNE AU CANADA


ENQUÊTE SUR LES CONDITIONS DE VIE EN HAÏTI


INSTITUT HAITIEN DE STATISTIQUE ET D’INFORMATIQUE

L'Afrique du Sud pleure "Mama Sisulu", "colosse" de la lutte anti-apartheid




JOHANNESBURG — "Un colosse" du combat anti-apartheid, un "trésor" national, "la sage-femme" de la démocratie: l'Afrique du Sud rendait vendredi un hommage ému à Albertina Sisulu, camarade de lutte et amie proche de Nelson Mandela, décédée la veille à l'âge de 92 ans.
Proches et personnalités politiques ont défilé toute la matinée dans le quartier de Linden, à Johannesburg, où "Mama Sisulu" s'est éteinte jeudi soir en regardant les informations télévisées avec deux de ses petits-enfants.
"L'Afrique du Sud restera éternellement reconnaissante et endettée envers ce pilier de la libération", a estimé le président Jacob Zuma, en saluant l'"un des derniers colosses" de la lutte contre le régime ségrégationniste.
Albertina Sisulu a été pendant des décennies "une force centrale pour l'ensemble du mouvement de libération, dont elle a élevé, conseillé, materné et éduqué la plupart des leaders", a-t-il souligné.
Cette femme modeste mais déterminée, infirmière de profession, était entrée en politique après avoir épousé en 1944 Walter Sisulu, un grand complice de Nelson Mandela, né comme elle en 1918, qui fut témoin au mariage.
Avec Oliver Tambo, les deux hommes ont transformé dans les années 40 le Congrès national africain (ANC) en organisation militante, capable d'organiser des manifestations de masse contre les lois d'apartheid. Un peu plus tard, ils l'ont doté d'un bras armé.
De son côté, Albertina Sisulu avait rejoint en 1948 la ligue des femmes de l'ANC.
Quand son mari fut condamné à perpétuité et expédié sur l'île-bagne de Robben Island avec Nelson Mandela, en 1964, elle "a rempli le vide laissé par l'emprisonnement et l'exil forcé des leaders" de la lutte, a rappelé l'ANC dans un communiqué.
"Elle ne nous a pas seulement donné une direction politique, mais elle a également servi de figure maternelle à tous les militants", a ajouté le parti au pouvoir depuis les premières élections multiraciales de 1994.
De tous les combats, elle fut arrêtée à plusieurs reprises, assignée à résidence, bannie hors de Johannesburg. Certains des cinq enfants du couple furent également emprisonnés par le régime raciste.
Mais contrairement à Winnie Mandela, l'épouse de Nelson également opprimée par les autorités d'apartheid, Albertina Sisulu n'a jamais versé dans la violence.
Aux discours enflammées, elle préférait la pédagogie. "Pendant un combat, si les gens ne savent pas pourquoi ils se battent, ça ne sert à rien", avait-elle expliqué plus tard.
Lors du scrutin de 1994, qui a porté Nelson Mandela à la présidence, le couple Sisulu était entré au Parlement. Albertina avait pris sa retraite quatre ans plus tard. En 2003, son époux décédait.
Toute sa vie, "Mama Sisulu est restée l'humilité personnifiée. Elle a résisté à la tentation de devenir une célébrité en politique", a rappelé le quotidien The Star dans un éditorial.
"Nous mettons nos drapeaux en berne en hommage à la sage-femme de l'Afrique du Sud libérée, d'une vraie mère de la Nation", ajoute l'éditorialiste.
Nelson Mandela, à qui elle avait rendu visite lors de son hospitalisation en janvier pour une infection respiratoire, ne s'était pas encore exprimé vendredi à mi-journée. Après son décès, il reste le dernier survivant des héros anti-apartheid de cette génération.
La Fondation Mandela, qui gère ses oeuvres caritatives, a toutefois rappelé qu'il l'avait un jour décrite comme une personne "sage et merveilleuse". Et de conclure : "l'Afrique du Sud a perdu un trésor."

Le Rôle Choquant des Juifs dans l'Esclavage 1 (Ce que disent les Historiens Juifs)

"Il faut constamment soulever les va-nu-pieds contre les gens à chaussures et mettre les gens à chaussures en état de s'entredéchirer les uns les autres, c'est la seule façon pour nous d'avoir une prédominence continue sur ce pays de nègres qui a conquis son indépendance par les armes. Ce qui est un mauvais
exemple pour les 28 millions de noirs d'Amérique."


Franklin Delano Roosevelt
Président des Etats-Unis.




HISTORIQUE DU DRAPEAU HAÏTIEN

Tirée de Beaubrun Ardouin et Marlène R Étienne

Le drapeau est un simple symbole, rien qu’un signe. Mais évoque les souvenirs d’un moment historique. Pour certains un signe de gloire, de fierté, de victoire, de puisssance pour d’autres signe de douleurs, de souffrance, de péripétie, d’oppression. Ce symbole peut également incarne l’idéal d’un peuple ou non. En tout c’est un simple morceau de tissus, mais qui dit long sur notre histoire en tant que Haïtien. Alors je laisse au soin de Beaubrun Ardouin et de Marlène Étienne

Les membres de la nouvelle assemblée ayant repris le titre d’assemblée générale de la partie française de Saint-Domingue et ceux de l’assemblée provinciale du Nord animés contre l’assemblée constituante par rapport au décret du 15 Mai, abandonnèrent la cocarde Nationale Tricolore pour adopter la cocarde Noire, en faisant porter aux troupes blanches des cocardes blanches, jaunes et vertes, signes de l’Aristocratie Française assiégeant en France de replacer la royauté dans les conditions de l’ancien régime.

La formation de deux régiments fut décrétée pour la colonie :
1) Le premier blanc, avec des cravates blanches, noires et rouges, ayant une salamandre au milieu avec les mots : Je vis dans le feu

2) Le second drapeau devient noir, rouge et blanc avec des cravates blanches ayant un Phénix dans le blanc portant ces morts : je renais de ma cendre

3) La coiffure des soldats était un drapeau rond à l’anglaise, avec panache noir et blanc. Ce n’est que plusieurs mois après que ces troupes reçurent des cocardes tricolores et autres insignes de la nationalité française

4) C’est de l’adaptation de ces couleurs qu’est née, parmi le plus grand nombre d’Haïtien, de ceux du Nord surtout, l’idée que le drapeau et la cocarde tricolore représentaient la couleur des trois classes d’hommes habitant Saint-Domingue : Blancs, Mulâtres et Noirs, bien que le drapeau tricolore ait le bleu au lieu de noir.

5) Dans la guerre de l’Indépendance, Dessalines retrancha le blanc du drapeau, pour indiquer que les blancs ne devaient plus faire partie de la nouvelle nation à créer. En 1805, il changea le bleu en noir, et le drapeau haïtien fut noir et rouge.

6) Christophe conserve ce drapeau, Noir et rouge, et en se faisant roi dans le Nord, il adopta un Phénix au milieu de ses armoiries, comme emblème de sa royauté, de son pouvoir avec la même devise : je renais de mes cendres

7) Dessalines, devenu empereur avait adapté le Coq gaulois

8) Pétion en fondant la République, rétablit le bleu et le rouge dans son drapeau . Ces couleurs provenaient du tricolore. Toutes ces choses indiquent l’influence des traditions parmi les peuples

9) Les esclaves révoltés adoptèrent la cocarde blanche et un drapeau blanc. Leurs chefs se décoraient dans le même sens

10) Selon Gros, le costume de Jeannot, généralissime de l’Armée des insurgés était : habit de drap gris, parement jaune, enrichi d’un crochet avec la Croix de Saint-Louis et le cordon rouge, il avait 12 gardes du corps, ceints d’une bandoulière remplie de fleurs de lis

11) Biassou portaient seulement la Croix de Saint Louis et le cordon rouge, plusieurs autres chef subalternes. Toussaint Louverture et d’autres étaient décorés de la Croix et des épaulettes. Leur passeport et leur brevet portaient toujours ces mots : Nous, généraux et brigardiers des armées du Roi, en vertu des pouvoirs qui nous ont été délégués.

12) Jean François prenait le titre de Grand Amiral de France, et Biassou celui de généralissime des pays conquis. Ils qualifiaient leur armée de gens du roi.

13) Les membres de l’assemblée siégeant au Cap avaient adopté en outre de la cocarde noire, d’autres insignes antinationaux. Ceux de l’assemblée générale portaient une écharpe noire, en signe du deuil qu’éprouvait la colonie par les insurrections des deux branches de la race noire, et ceux de l’assemblée provinciale adoptèrent une écharpe rouge en signe du sang européen que ces deux insurrections faisaient verser dans les combats. De telles idées devaient naturellement amener les colons à des résolutions insensées.

Selon différents historiens haïtiens et Marlène Étienne le drapeau de Dessalines, bleu et rouge au moment de la guerre de l’Indépendance était cousu par Catherine Flon, qui serait une mulâtresse. Mais selon Marlène il est difficile d’établir l’existence d’un personnage historique de Catherine Flon.

Selon elle, le 18 Mai à l’Arcahaie que Dessalines, dans un geste violent, arracha la partie blanche du drapeau français et présenta à ses frères et ses sœurs rassemblés les deux côtés, bleu et rouge, formant ainsi le bicolore de la révolution. Il symbolise par cet acte l’exclusion définitive des colons blancs et l’union des mulâtres et des noirs. Catherine Flon aurait été alors chargée de coudre le drapeau. Ainsi prit naissance, l’histoire de Catherine Flon, la belle mulâtresse de l’Archahaie, celle dont les longs cheveux servirent à coudre le drapeau de l’Armée indigène. Les premiers historiens ont tous ignoré ce fait. Catherine a-t-elle vraiment existé?

Selon Joseph Saint-Remy, les chefs de bandes s’embarquaient aux environs de Léogane le 13 mai 1803 sur 5 barques en direction de l’Arcahaie. Ils y déscendirent le 14 mai 1803. Allusion remarquable, car à Léogane se trouve découverte dans la section rurale Petite rivière en plaine, l’existence d’une habitation Flon. Probablement celle Catherine Flon soit originaire.
Sous l’empire de Dessalines on a retrouvé les traces d’un certain Jacques Flon, employé des domaines de l’Ouest. Les registres des actes aux archives nationales restent, mais muets sur Catherine Flon. Probable qu’elle soit été la mère, la sœur, l’épouse ou une parente de Jacques Flon, ou qu’ils aient le même nom de famille. Contrairement à ce que l’on raconte, catherine Flon n’est pas de l’Arcahaie mais de Léogane. Son séjour a été de courte durée à l’Arcahaie. Probable qu’elle ait péri à bord d’une des barques transportant les soldats indigènes de retour vers Léogane, ou qu’elle ait survécu à bord de celle transportant Gangé et les autres vers la terre ferme, suite à leur réunion de l’Archaie.
Tout tient à la tradition que Catherine Flon a été présente à l’Arcahaie pour reconnaître l’autorité de Dessalines. Faute de documentation, l’histoire haïtienne est remplie d’épisodes qui demeurent jusqu’à nos jours de véritables énigmes.
Chose certaine, la confection des drapeaux a fait suite au ralliement survenu autour de la personne et de l’autorité de Dessalines. Ce ralliement a fait suite à un serment de fidélité.

SEPT SYMBOLES OU SIGNIFICATIONS DU DRAPEAU HAITIEN

De tous les symboles créés par l’homme dans son ardent désir de représenter sur le plan concret les idées forces qui l’animent et le guident, le drapeau est celui qui contient le plus de significations. Quelles sont celles de notre bicolore? A mon avis, notre drapeau comporte sept significations que je pourrais considérer comme majeures.

Première signification
La première signification du drapeau haïtien est celle de la réconciliation. Pendant la guerre de l’indépendance, l’armée indigène se battait en bandes dispersées. Les Petit-Noël, Sans-souci, Lamour Dérance…, tous des chefs de bande, refusèrent obstinément de se soumettre à l’autorité de Dessalines. Il fallait une stratégie unitaire des généraux indigènes tels que Christophe, et Philippe Guerrier pour ramener à la raison ces éléments de discorde dont l’action nocive pouvait retarder pour longtemps l’issue de la lutte contre les Français. La soumission de ces chefs de bande ainsi que le ralliement de Pétion dans les rangs de l’armée indigène ayant à sa tête Jean-Jacques Dessalines comme général en chef constituent un acte de haute portée historique. C’est le premier acte de réconciliation sincère posé dans notre histoire. Cette stratégie unitaire devait conduire à l’Arcahaie les officiers indigènes de l’Ouest et des quartiers voisins pour la création d’un drapeau spécial pour l’armée indigène le 18 mai 1803.

Deuxième signification
La deuxième signification du drapeau est celle de la liberté. Sans entrer dans les controverses historiques relatives aux couleurs de notre drapeau et à ses différentes positions par rapport à la rampe, notre (oriflamme à deux tranches) est le symbole vivant du souffle puissant de la liberté qui animait l’armée indigène dans sa lutte contre les hordes de Napoléon Bonaparte. Aussi, à chaque fois que nous voyons flotter le drapeau haïtien, il représente l’effort et les sacrifices consentis par nos ancêtres pour vivre libre ou mourir, tout en refusant la domination d’aucun autre peuple sur cette planète. L’épopée fulgurante de Vertières a été conduite et menée au succès au nom de la liberté. Car, après le 18 novembre 1803, le soleil d’Haïti luisait sur deux catégories d’hommes: les morts et les libres.

Troisième signification
La troisième signification de notre drapeau est celle l’indépendance nationale. L’indépendance est le fondement politico-juridique de la nation haïtienne. Elle lui confère une personnalité légale afin que ses citoyens puissent assurer son destin qui devrait être un destin de grandeur. A chaque fois que le drapeau haïtien flotte sur un édifice public ou privé, national ou international, il indique clairement que Haïti est une nation indépendante et qu’elle fait partie des autres nations, jouissant de son statut politico-juridique. Aussi, tout acte nuisible à l’indépendance nationale posé par nous est une souillure portée à notre drapeau.

Quatrième signification
La quatrième signification du drapeau haïtien est celle de l’unité nationale. Que de déchirements internes causés par notre manque de compréhension dans la gestion politique de notre nation! Au lendemain de notre indépendance, la nation fut divisée territorialement. Pétion régnait dans l’Ouest et Christophe dans le Nord. Deux tempéraments opposés politiquement et socialement. Ce qui nous a valu l’existence de deux Etats sur un espace territorial de 28,250 km2: une république et un royaume. Chacun de ces deux Etats hissait son drapeau, établissait son administration, présentait une vision différente de la chose politique. Au moment de la disparition de cette division nationale, un seul drapeau flottait sur le sol haïtien redevenu un et indivisible.

Cinquième signification
La cinquième signification du drapeau haïtien est celle de la souveraineté nationale. La souveraineté et l’autonomie sont deux notions complémentaires. Cependant, la première a un caractère juridique, la deuxième un caractère administratif. Par conséquent, être une nation souveraine et autonome, c’est établir, dans les limites de son territoire, les règles et principes de vie pour la pérennité de l’Etat. Notre drapeau flotte dans l’azur pour indiquer à tous, qu’une fois établis, seuls les fils du pays ont le droit inaliénable et imprescriptible de les modifier dans le but de parvenir à une société plus humaine, plus juste, plus harmonieuse et respectueuse des droits de chaque citoyen, surtout le droit à la vie et à la poursuite personnelle du bonheur.

Sixième signification
La sixième signification du drapeau haïtien est celle de l’existence de notre pays en tant qu’Etat. L’Etat est en quelque sorte une autre forme de pouvoir politique suivant le constitutionaliste George Burdeau. Il est le support indépendant des personnalités gouvernantes. L’Etat, suivant l’auteur précité, est le titulaire abstrait et permanent du Pouvoir dont les gouvernants ne sont que des agents d’exercice essentiellement passagers. C’est le drapeau qui symbolise la continuité et l’autorité dont sont investis les gouvernants. Par conséquent, le drapeau est aussi le symbole vivant de la continuité de l’Etat.

Septième signification
La septième signification du drapeau haïtien est celle de l’âme nationale. Tous les idéaux nobles, de grandeur qui ont contribué à faire de nous une nation reconnue et jadis respectée constituent une expression de la conscience nationale ou de l’âme nationale. D’après Kern Délince, “en dépit de nos luttes fratricides et nos comportements aberrants, nous avions gardé un certain nombre de traits positifs qui faisaient l’originalité de notre personnalité: Sentiment de l’honneur, amour passionné de la liberté, acharnement très vif à la souveraineté nationale, goût de l’héroïsme, courage physique et moral, croyance en une vocation messianique de la nation haïtienne.” Qui d’entre nous possède encore ces sentiments! Hélas, tous ces traits positifs ont perdu de leur valeur. Il nous faut les réanimer. Il nous faut retrouver le souffle des grand ancêtres comme aime à le répéter le Professeur Leslie Manigat, ancien président constitutionnel de la République d’Haïti.

Souiller le drapeau, l’insulter par des actes de vagabondage, des actes provenant des fils dénaturés, des renégats, c’est aussi souiller l’âme nationale. En l’espace d’une décade, notre drapeau a été souillé plusieurs fois. Réfléchissons, méditons sur les conséquences insultantes et honteuses d’une telle situation pour notre malheureux pays.

Que Dieu protège notre chère Haïti et notre drapeau!
Miami, le 18 mai 2005.

Rigobert Carty, av.

dimanche 3 juillet 2011

Traite des Blancs traite des Noirs


R. A. Plumelle-Uribe Traite des Blancs Traites... par lesamisdanibwe

JEAN JACQUES DESSALLINES DISCOURS DU Ier JANVIER 1804

Le Général en chef au Peuple d'Haïti

Citoyens, Ce n'est pas assez d'avoir expulsé de votre pays les barbares qui l'ont ensanglanté depuis deux siècles ;

ce n'est pas assez d'avoir mis un frein aux factions toujours renaissantes qui se jouaient tour à tour du fantôme de liberté que la France exposait à vos yeux : il faut, par un dernier acte d'autorité nationale, assurer à jamais l'empire de la liberté dans le pays qui nous a vu naître ; il faut ravir au gouvernement inhumain qui tient depuis longtemps nos esprits dans la torpeur la plus humiliante, tout espoir de nous réasservir, il faut enfin vivre indépendants ou mourir.

Indépendance ou la mort ... que ces mots sacrés nous rallient, et qu'ils soient le signal des combats et de notre réunion. Citoyens, mes compatriotes, j'ai rassemblé dans ce jour solennel ces militaires courageux qui, à la veille de recueillir les derniers soupirs de la liberté, ont prodigué leur sang pour la sauver ; ces généraux qui ont guidé vos efforts contre la tyrannie n'ont point encore assez fait pour votre bonheur ... le nom français lugubre encore nos contrées.

Tout y retrace le souvenir des cruautés de ce peuple barbare : nos lois, nos mœurs, nos villes, tout encore porte l'empreinte française ; que dis-je ? il existe des Français dans notre île, et vous vous croyez libres et indépendants de cette République qui a combattu toutes les nations, il est vrai, mais qui n'a jamais vaincu celles qui ont voulu être libres.

Eh quoi ! victimes pendant quatorze ans de notre crédulité et de notre indulgence, vaincus non par des armées françaises, mais par la piteuse éloquence des proclamations de leurs agents : quand nous lasserons-nous de respirer le même air qu'eux ? Qu'avons-nous de commun avec ce peuple bourreau ? Sa cruauté comparée à notre patiente modération, sa couleur à la nôtre, l'étendue des mers qui nous séparent, notre climat vengeur, nous disent assez qu'ils ne sont pas nos frères, qu'ils ne le deviendront jamais, et que s'ils trouvent un asile parmi nous, ils seront encore les machinateurs de nos troubles et de nos divisions.

Citoyens indigènes, hommes, femmes, filles et enfants, portez vos regards sur toutes les parties de cette île : cherchez-y, vous, vos épouses ; vous, vos maris ; vous, vos frères ; vous, vos sœurs, que dis-je ? Cherchez-y vos enfants, vos enfants à la mamelle ; que sont-ils devenus ? ... je frémis de le dire ... la proie de ces vautours.

Au lieu de ces victimes intéressantes, votre œil consterné n'aperçoit que leurs assassins ; que les tigres dégouttant encore de leur sang, et dont l'affreuse présence vous reproche votre insensibilité et votre coupable lenteur à les venger.

Qu'attendez-vous pour apaiser leurs mânes ? Songez que vous avez voulu que vos restes reposassent auprès de ceux de vos pères, quand vous avez chassé la tyrannie ; descendrez-vous dans leurs tombes sans les avoir vengés ? Non ! leurs ossements repousseraient les vôtres.

Et vous, hommes précieux, généraux intrépides, qui, insensibles à vos propres malheurs, avez ressuscité la liberté, en lui prodiguant tout votre sang, sachez que vous n'avez rien fait, si vous ne donnez aux nations un exemple terrible, mais juste, de la vengeance que doit exercer un peuple fier d'avoir recouvré sa liberté et jaloux de la maintenir ; effrayons tous ceux qui oseraient tenter de nous la ravir encore ; commençons par les Français ... Qu'ils frémissent en abordant nos côtes, sinon par le souvenir des cruautés qu'ils y ont exercées, au moins par la résolution terrible que nous allons prendre de dévouer à la mort quiconque né français souillerait de son pied sacrilège le territoire de la liberté.

Nous avons osé être libres, osons l'être par nous-mêmes et pour nous-mêmes. Imitons l'enfant qui grandit : son propre poids brise la lisière qui lui devient inutile et l'entrave dans sa marche.

Quel peuple a combattu pour nous ? quel peuple voudrait recueillir les fruits de nos travaux ? Et quelle déshonorante absurdité que de vaincre pour être esclaves.

Esclaves ! ... laissons aux Français cette épithète qualificative : ils ont vaincu pour cesser d'être libres.

Marchons sur d'autres traces ; imitons ces peuples qui, portant leurs sollicitudes jusques sur l'avenir, et appréhendant de laisser à la postérité l'exemple de la lâcheté, ont préféré être exterminés que rayés du nombre des peuples libres.

Gardons-nous, cependant, que l'esprit de prosélytisme ne détruise notre ouvrage ; laissons en paix respirer nos voisins ; qu'ils vivent paisiblement sous l'égide des lois qu'ils se sont faites, et n'allons pas, boutefeux révolutionnaires, nous érigeant en législateurs des Antilles, faire consister notre gloire à troubler le repos des îles qui nous avoisinent ; elles n'ont point, comme celle que nous habitons, été arrosées du sang innocent de leurs habitants ; elles n'ont point de vengeance à exercer contre l'autorité qui les protège.

Heureuses de n'avoir jamais connu les idéaux qui nous ont détruits, elles ne peuvent que faire des vœux pour notre prospérité. Paix à nos voisins ; mais anathème au nom français, haine éternelle à la France : voilà notre cri.

Indigènes d'Haïti ! mon heureuse destinée me réservait à être un jour la sentinelle qui dût veiller à la garde de l'idole à laquelle vous sacrifiez ; j'ai veillé, combattu quelquefois seul, et si j'ai été assez heureux pour remettre en vos mains le dépôt sacré que vous m'avez confié, songez que c'est à vous maintenant à le conserver.

En combattant pour votre liberté, j'ai travaillé à mon propre bonheur. Avant de la consolider par des lois qui assurent votre libre individualité, vos chefs, que j'assemble ici, et moi-même, nous vous devons la dernière preuve de notre dévouement.

Généraux, et vous chefs, réunis ici près de moi pour le bonheur de notre pays, le jour est arrivé, ce jour qui doit éterniser notre gloire, notre indépendance. S'il pouvait exister parmi nous un cœur tiède, qu'il s'éloigne et tremble de prononcer le serment qui doit nous unir.

Jurons à l'univers entier, à la postérité, à nous-mêmes, de renoncer à jamais à la France et de mourir plutôt que de vivre sous sa domination ; de combattre jusqu'au dernier soupir pour l'Indépendance de notre pays. Et toi, peuple trop longtemps infortuné, témoin du serment que nous prononçons, souviens-toi que c'est sur ta constance et ton courage que j'ai compté quand je me suis lancé dans la carrière de la liberté pour y combattre le despotisme et la tyrannie contre lesquels tu luttais depuis 14 ans.

Rappelle-toi que j'ai tout sacrifié pour voler à ta défense : parents, enfants, fortune, et que maintenant je ne suis riche que de ta liberté ; que mon nom est devenu en horreur à tous les peuples qui veulent l'esclavage, et que les despotes et les tyrans ne le prononcent qu'en maudissant le jour qui m'a vu naître ; et si jamais tu refusais ou recevais en murmurant les lois que le génie qui veille à tes destins me dictera pour ton bonheur, tu mériterais le sort des peuples ingrats.

Mais loin de moi cette affreuse idée ; tu seras le soutien de la liberté que tu chéris et l'appui du chef qui te commande.

Prête donc entre mes mains le serment de vivre libre et indépendant, et de préférer la mort à tout ce qui tendrait à te remettre sous le joug.

Jure enfin de poursuivre à jamais les traîtres et les ennemis de ton indépendance.

Fait au quartier général des Gonaïves, le premier janvier mille-huit cent-quatre, l'an ler de l'Indépendance.

Signé : JEAN JACQUES DESSALINES

PREMIER ROI ET EMPEREUR D'HAÏTI

PÈRE MÈRE DE TOUS LES HAÏTIENS ET HAÏTIENNES QUI SE RESPECTENT ET S'HONNORENT

VIE FORCE SANTÉ A L'OSIRIS JEAN JACQUES DESSALINES PROTECTEUR DE LA NATION HAITIENNE POUR L'ETERNITÉ

VIE FORCE SANTÉ A TOUS LES ANCÊTRES TOUS LES GUIDES QUI L'ONT PRÉCÉDÉ ET CEUX QUI SUIVENT SA VOIE

TABLEAU CHRONOLOGIQUE



DE

L'ÉGYPTE DES PHARAONS



NÉOLITHIQUE : 5500 - 3300 a.n.è.






PÉRIODES


DATES


DELTA


FAYOUM


VALLÉE




Premiers villages


5500 - 4500


Mérimdeh


Fayoum A


Badari




Prédynastique

ancien


4500 - 4000


Omari A (Hélouan)





Amratien

(Négada I)




Prédynastique

moyen


4000 - 3500


Omari B





Gerzéen A

(Négada II)




Prédynastique

récent


3500 - 3300


Maadi





Gerzéen B

(Négada III)


PRÉTHINITE (les deux royaumes) : 3300 - 3100

PÉRIODE THINITE, Dynasties I et II : 3100 – 2647

Scorpion II

Ière DYNASTIE : 3291 - 2889

Narmer 3291

Aha (Hor - Aha) 3100 - 3075

Djer 3075 - 3030

Ouadji 3030 - 3025

Den 3025 - 2970

Adjib 2970 - (?)

Semerkhet (?) - 2925

Kaâ 2925 - 2889

IIe DYNASTIE : 2889 - 2647 (les dates de règne sont très approximatives)



Hotepsekhemoui 2889 - .......

Nebrê ..................

Nineter ..................

Ouneg ..................

Senedj ..................

Peribsen ..................

Sekhemib ..................

Khâsekhem / Khâsekhemoui ........- 2647







ANCIEN EMPIRE, IIIe - VIe dynasties : 2647 - 2140

IIIe DYNASTIE : 2647 - 2573



Senakht 2647 - 2628

Djéser 2628 - 2609

Sekhemkhet 2609 - 2603

Khâba ( ?)

Neferkarê 2603 - 2597

Houni 2597 - 2573

IVe DYNASTIE : 2573 - 2454

Snéfrou 2573 - 2549

Khoufou (Chéops) 2549 - 2526

Djedefrê 2526 - 2518

Kafrê (Chephren) 2518 - 2493

Baefrê (?)

Menkaourê (Mykérinos) 2486 - 2458

Chepseskaf 2458 - 2454

Ve DYNASTIE : 2454 - 2311 


Ouserkaf 2454 - 2447

Sahourê 2447 - 2435

Neferirkarê - Kakaï 2435 - 2425

Chepseskarê 2425 - 2418

Neferefrê 2418 - 2408

Niouserrê 2408 - 2377

Menkaouhor 2377 - 2369

Djedkarê-Isesi 2369 - 2340

Ounas 2340 - 2311

VIe DYNASTIE : 2311 - 2140

Téti 2311 - 2281

Ouserkarê (?) ..............

Pépi Ier 2280 - 2243

Mérenrê I 2243 - 2237

Pépi II 2237 - 2143

Mérenrê II 2142 - 2141

Nitokris (reine) 2141 - 2140



1e PÉRIODE INTERMÉDIAIRE, VIIe - fin XIe dynastie : 2140 - 2040

(1) DYNASTIES DE MEMPHIS:

VIIe - VIIIe dynasties : 2140 - 2120 (?)

Pour la VIIe, les noms et les dates sont inconnus. Pour la VIIIe, il y aurait près de 25 pharaons dont les dates et l'ordre de succession nous échappent.

(2) DYNASTIES D'HÉRAKLÉOPOLIS :

IXe - Xe dynasties : 2140 (?) - 2040

. IXe : Meribrê Khéty et Merikarê 2140 - 2110 (?)

. Xe : Une dizaine de noms dont Neferkarê Meribrê, Khéty III et Mérikarê

(3) DYNASTIE DE THÈBES :

XIe dynastie : 2120 - 2040

Mentouhotep I 2120 - (?)

Antef I (?) - 2107

Antef II 2107 - 2058

Antef III 2058 - 2050

Mentouhotep II 2050 - 2040

MOYEN EMPIRE, fin XIe - XII dyn : 2040 - 1785

Dynasties de Thèbes

XIe DYNASTIE (fin) : 2040 - 1991

Mentouhotep II (après réunification) 2040 - 2010

Mentouhotep III 2009 - 1997

Mentouhotep IV 1997 - 1991

XIIe DYNASTIE : 1991 - 1785



Amenemhat Ier 1991 - 1962

Senousret Ier 1962 - 1928

Amennemhat II 1928 - 1895

Senousret II 1895 - 1878

Senousrte III 1878 - 1842

Amenemhat III 1842 - 1797

Amenemhat IV 1797 - 1790

Neferoursobek 1790 - 1785



2e PÉRIODE INTERMÉDIAIRE, XIIIe - XVIIe dynasties : 1785 - 1540

XIIIe - XIVe DYNASTIES : 1785 - 1600 (?)

. XIIIe : Une soixantaine de rois 1785 - 1635

. XIVe : Plus de soixante-dix noms 1635 - 1600 (?)

.

(1) DYNASTIE HYKSÔS,Blanc Asiatique XVe - XVIe dyn : 1674 - 1540

. XVe : Environ 6 rois dont Salitis, Yakhoub-Har, Khyan, Apophis Ier, Apophis II

. XVIe : Dynastie parallèle, composée des vassaux hyksôs



(2) DYNASTIE DE THÈBES, XVIIe dynastie : 1648 - 1540

. Plusieurs rois dont: Rahotep, Antef V, (...), Senakhtenrê Taa I, Seqerenrê Taa II, Kamose, Ahmôsis (avant réunification) .........1550 - 1540



NOUVEL EMPIRE, XVIIIe - XXe dynasties : 1540 - 1069

XVIIIe DYNASTIE : 1540 - 1295

NOM (PRÉNOM) (NOM GREC USUEL) DATE

Ahmès (Nebpehtirê) (Ahmôsis) 1540 - 1526

Amenhotep Ier (Djéserkarê) (Aménophis Ier) 1526 - 1506

Thoutmès (Aakhéperkarê) (Thoutmôsis Ier) 1506 - 1493

Thoutmès (Aakhéperenrê) (Thoutmôsis II) 1493 - 1479

Hatshepsout (Maakarê) ( -- -- -- -- -- -- ) 1479 - 1458

Thoutmès (Menkhéperrê) (Thoutmôsis III) 1479 - 1425

Amenhotep II (Aakhéperourê) (Aménophis II) 1427 - 1401

Thoutmès (Menkhéperourê) (Thoutmôsis IV) 1401 - 1391

Amenhotep III (Nebmaarê) (Aménophis III) 1391 - 1353

Amenhotep IV (Neferkhéperourê) (Aménophis IV / Akhénaton) 1353 - 1338

Semenkhkarê (-- -- -- -- -- --) ( -- -- -- -- -- --) 1338 - 1336

Toutankhamon (Nebkhéperourê) ( -- -- -- -- -- -- ) 1336 - 1327

Aÿ (Khéperkhéperourê) ( -- -- -- -- -- -- ) 1327 - 1323

Horemheb (Djeserkhéperourê) ( -- -- -- -- -- -- ) 1323 - 1295



XIXe DYNASTIE : 1295 - 1186

Nom (prénom) Date

Ramsès I (Menpehtirê) 1295 - 1294

Séthi I (Menmaarê) 1294 - 1279

Ramsès II (Ousermaarê) 1279 - 1213

Merenptah [Mineptah] (Baenrê) 1213 - 1203

Amenmes (Menmaarê) 1203 - 1200

Séthi II (Ouserkhéperourê) 1200 - 1194

Siptah (Aakhenrê) 1194 - 1188

Taousert (reine) (Setrê-Meryetamon) 1188 – 1186



XXe DY NASTIE : 1186 - 1069

Sethnakht 1186 - 1184

Ramsès III 1184 - 1153

Ramsès IV 1153 - 1147

Ramsès V 1147 - 1143

Ramsès VI 1143 - 1136

Ramsès VII 1136 - 1129

Ramsès VIII 1129 - 1126

Ramsès IX 1126 - 1108

Ramsès X 1109 - 1099

Ramsès XI 1099 - 1069



3e PÉRIODE INTERMÉDIAIRE,

XXIe - XXIVe dynasties: 1069 - 715

(DYNASTIES LIBYENNES)

Période difficile pour l'Égypte.

Dynasties parfois parallèles, les XXII - XXIIIe. La chronologie n'est pas toujours précise...

Le pays est politiquement divisé: dans le Delta, des étrangers Libyens fondent 2 dynasties (les 22e et 23e). Tel que le nom l'indique, ces dynasties sont d'origines étrangères. Leurs chefs sont des descendants Libu (indo-européens) installés graduellement dans le Delta, comme mercenaires ou autres, après les grandes invasions des peuples de la Mer (vers 1200).

Deux dynasties, en partie parallèle dans le temps, couvrent la zone du Delta. Le XXIIe a son siège à Bubastis, la XXIIIe à Tanus.

En Moyenne Égypte, pendant un certain temps (1069 - 945), la région est sous la direction des Grands-prêtres de Thèbes (temple d'Amon à Karnak), formant une dynastie officieuse.


(1) DYNASTIE DE TANIS ,

XXIe dynastie : 1069 - 945

Smendès 1069 - 1043

Amenemnesout 1043 - 1039

Psousennès 1040 - 993

Aménémopé 993 - 984

Osorkon l'Ancien 984 - 978

Siamon 978 - 959

Psousennès II 959 - 945



(2) DYNASTIE DE BUBASTIS,

XXIIe dynastie : 945 – 730



Sheshonq I 945 - 924

Osorkon I 924 - 889

Sheshonq II 890 - 889

Takélot I 889 - 874

Osorkon II 874- 850

Takélot II 850 - 825

Sheshonq III 825 - 773

Pimay 773 - 767

Sheshonq IV 767 – 730



(3) DYNASTIE DE TANIS, XXIIIe dynastie : 818 - 715

Pédoubastis 818 - 793

Ioupout I ( ?)

Sheshonq V ( ?)

Osorkon III 787 - 757

Takélot III 764 - 757

Roudamon 757 - 754

Ioupout II ( ?)

............... ( ?)

Osorkon IV 730 - 715 (?)

(4) DYNASTIE DE SAÏS , XXIVe dynastie : 730 - 715

Tefnakht 730 - 720

Bakenranef (le Bocchoris des Grecs) 720 - 715



BASSE ÉPOQUE, XXVe - XXXe dynasties : 715 - 342

La Basse Époque se subdivise en quatre sous-périodes : (1) à (3) couvrant les six dernières dynasties (dont la perse) (les dynasties XXV à XXX : 715 - 342); (4) correspondant à la seconde occupation des Perses, qui ne créent pas, cette fois, de dynastie nouvelle (342 - 332).

En 333, Alexandre le Grand de Macédoine s'empare de la vallée du Nil et, devenu pharaon en 332, il inclut la région dans le vaste empire proche-oriental qu'il est à bâtir. Une nouvelle dynastie locale, indépendante, quoique d'origine grecque, gouvernera le pays à partir de 305. Il s'agira de la dynastie des Ptolémées.


(1) DYNASTIE KOUSHITE, XXVe dynastie : 715 - 656

Piankhi 747 - 715

Shabaka 715 - 702

Shabataka 702 - 690

Taharqa 690 - 664

Tanoutamon Tantamani 664 - 656



(2) DYNASTIE DE SAÏS, XXVIe dynastie : 663 - 525

(Nékao I 672 - 664 
Psammétique I 664 - 610 (?) 
Nékao II 610 - 595 
Psammétique II 595 - 589 
Apriès 589 - 570 
Amasis 570 - 526

Psammétique III 526 - 525

(3) DYNASTIE PERSE, XXVIIe dynastie : 525 - 404

Cambyse II 525 - 522

Darius I 522 - 486

Xerxès I 486 - 465

Artaxerxès I 465 - 424

Darius II 424 - 404

(4) DERNIÈRES DYNASTIES LOCALES, XXVIII - XXX : 404 - 342

. XXVIII dynastie: Amyrtée 404 - 399

. XXIX dynastie:

Néphéritès I 399 - 393

Psammouthis 393

Achôris 393 - 380

Néphéritès II 380

. XXX dynastie:

Nectanébo I 380 - 362

Tachos 362 - 360

Nectanébo II 360 – 342 Dernier Phary Noirs des deux Tère



PERSES, Seconde occupation : 341 - 332

Artaxerxès III 341 - 338

Arsès 337 - 336

Darius III 335 - 332



ALEXANDRE LE GRAND ( 356 - 323 )

Alexandre est né en Macédoine, un royaume situé au nord de la Grèce. Suite à l'assassinat de son père Philippe II, il monte sur le trône en 336 sous le nom d'Alexandre II. Poursuivant l'oeuvre de conquête de son prédécesseur et rêvant d'un grand empire universel, il décide de traverser au Proche-Orient où domine alors l'Empire perse. C'est dans ce contexte que le destin de l'Égypte rencontrera celui du célèbre conquérant. Du côté de la vallée du Nil, la dernière décennie n'avait pas été de tout repos. En 342 était disparu le dernier pharaon local, les armées de Nectanébo II subissant la défaite face à la seconde conquête du pays par les Perses. Mais l'intégration de l'Égypte comme satrapie (province) dans l'Empire perse ne fut que de courte durée. L'aventure militaire d'Alexandre fit s'écrouler le géant aux pieds d'argile. En 334, l'armée d'Alexandre traverse en Asie mineure et écrase les Perses à Issos. Puis, en 332, il pénètre dans la vallée du Nil après une capitulation rapide du satrape. En peu de temps, le conquérant organise sa nouvelle conquête en introduisant ses propres administrateurs au-dessus de ceux déjà en place. Dans l'ensemble, la population égyptienne accueille favorablement le nouveau maître. Lors de son passage l'oasis de Siouah, où se trouvait un temple dédié à Amon, il est reçu par les prêtres du dieu. Dans un contexte dont les souvenirs sont mêlés de légendes diverses, le dieu Amon reconnaît Alexandre comme son fils, selon la plus pure tradition politique du pays. Ce faisant, lui et ses successeurs obtiennent la légitimité idéologique de leur nouveau pouvoir. Par la suite, Alexandre reçoit la couronne royale lors d'une cérémonie d'intronisation qui se déroule à Memphis, l'antique capitale du pays, dans le temple de Ptah. Alexandre ne demeura en Égypte qu'un court laps de temps (332 - 331). Durant cette brève période, il assura la fondation d'une nouvelle capitale, Alexandrie, une ville qui devint l'un des centres culturels les plus importants sur la Méditerranée.

PTOLÉMÉES dyn: 305 - 30 a.n.è.

NOM (SURNOM) [ÉPOUSE, ÉPOUX] DATES

Ptolémée I (Soter) [ Bérénice I ] 305 – 285 ,

Ptolémée II (Philadelphe) [ Asinoé I et II ] 285 – 246,

Ptolémée III (Évergète) [ Bérénice II ] 246 - 222

Ptolémée IV (Philopathor) [ Arsinoé III ] 222 - 205

Ptolémée V (Épiphane) [ Cléopâtre I ] 204 - 180

Ptolémée VI (Philometor) [ Cléopâtre II ] 180 - 145

. octobre 170 : Ptolémée VIII et Cléopâtre II sont associés au trône.

. 164 - 163 : Ptolémée VI est éliminé temporairement. Il reprend la couronne en 163.

Ptolémée VII (Neos Philopator) 145 - 144

Ptolémée VIII (Évergète II) [ Cléopâtre V et VI ] 145 - 116

Ptolémée IX (Soter II) [ Cléopâtre III ] 116 - 107

. en 107, Ptolémée IX est temporairement chassé du pouvoir.

Ptolémée X (Alexandre I) [ Cléopâtre III ] 107 - 101

Ptolémée X (Alexandre I) [ Cléopâtre Bérénice ] 101 - 88

Ptolémée IX (Soter II) 88 - 81

Ptolémée XI (Alexandre II) [ Cléopâtre Bérénice ] 80

Ptolémée XII (Aulète) [ Cléopâtre Tryphaena ] 80 - 58

Bérénice V (fille de Ptolémée XII, chassé du trône) 58 - 55

Ptolémée XII (Alexandre II) (revient, aidé des Romains) 55 – 51

Cléopâtre VIII [ Ptolémée XIII, XIV, XV ] 51 - 30





Chronologie HAÏTIENNE 12OO av JC-1492-2008





38000 Ans En 2005, dans une ancienne carrière située près du volcan Cerro Toluquilla (Puebla au Mexique), des traces humaines vieilles de 38 000 ans ont été découvertes par une équipe britannique sur une couche de cendres fossilisées.



35000 ANS av jc 75 crânes, dont le crâne de Luzia, ont été mis au jour au Brésil 2,3 datés de près de 35 000 ans, soit plus que le site de Clovis, au Nouveau-Mexique, considéré jusqu'alors comme le plus ancien du continent ; ils sont d'aspect africain ou aborigène australien.



12000 A 9000 Ans 250 crânes et squelettes du site de Cerca grande, sont âgés de 9 000 ans à 12 000 ans et sont également de type mélanésien et africain.



9460 ans! On a baptisé cette incroyable découverte «l'homme de Kennewick».



7000 av jc On suppose que les premiers habitants des Antilles furent les Ciboneys. Il y a sept milles ans, ils se seraient installés sur les côtes vénézuéliennes et par bornage auraient gagné les Grandes Antilles. La découverte de pierres polies en Guadeloupe, fait croire que les Ciboneys auraient pu conquérir les Petites Antille



Les Ciboneys (nom venant de l'arawak signifiant « ceux qui habitent des grottes ») sont des Amérindiens des Antilles, situés dans la mer des Caraïbes. Ils habitent les îles d'Hispaniola et de Cuba. Lors des premiers contacts avec les Européens, ils furent relégués dans les régions retirées de ces îles par leurs voisin Tainos qui vivaient eux aussi sur de petites îles proche du littoral.



Environ 1200 ans AV Jésus – Christ : Installation

des tribus Arawaks dans les grandes Antilles.







800 av JC l’iles Ayiti est diviser en cinque cacica la magua,le Huguer,le Xaragua,le Marien

diriger par cinque cacique Caonabo,guacanagarix,guarionex,Anacaona,Cotubanama un géant, fut le recordman de l’arc de cette époque: aucun indien

de son royaume ne pouvait bander son arc gigantesque.







500 et 100 av jc Il y a tout d’abord dans le Golfe du Mexique, ces immenses têtes, ces sculptures monumentales représentant des visages, dont les traits sont manifestement négro-africains (…). Par conséquent, pour le professeur Jean Mazel, il n’est pas possible de nier ce fait vu que sur place, des « Sculptures monumentales représentent des visages dont les traits sont manifestement négro-africains (…). On peut donc affirmer que des Noirs jouissaient, entre 500 et 100 avant J.C, sur les rives du golfe du Mexique, de positions aussi éminentes que celles de rois ou de personnages divinisés » (Présence du monde noir, éd. R. Laffont).





1474- Naissance de la future Cacique ANACAONA fleur D’or

Anacaona est la soeur du cacique du Xaragua Bohéchio, et l'épouse de Caonabo, cacique de la Maguana Anacaona, Nicolas Ovando, le nouveau remplaçant de Bobadilla à Santo Domingo, annonça une visite d'amitié. Flattée par cet honneur, Anacaona, escortée d'une troupe de jeunes indiennes, se porta sur la frontière de son royaume et c'est au chant d'areytos qu'Ovando fut accompagné jusqu'a Yaguana. Et là, Ovando annonça une grande fête pour tous les chefs du caciquat. Durant la fête, alors que les cavaliers espagnols émerveillaient l'assistance par leurs évolutions, soudain, Ovando porta la main à sa croix d'Alcantara. C'était le signal. Tous les chefs du caciquat furent attachés à des poteaux. La reine Anacaona fut ligotée. Réservée à un supplice honteux, elle fut emmenée a Santo Domingo; jugée pour crime de haute trahison et condamnée à être pendue publiquement. Anacaona s'est toujours montrée la femme vaillante du fier Caonabo. Le jour de son supplice, avant qu'on lui passât la corde au cou, sans aucune défaillance, elle chanta et pria en hommage aux Zémès. Avec ce massacre disparut le caciquat du Xaragua.



1492 Naissance du Cacique Henry est le premier grand leader connu de la lutte antiesclavagiste, anticolonialiste en Amérique. L'histoire révèle qu'il savait lire et écrire, et magnait bien les armes à feu des espagnols comme beaucoup de ses compagnons. Il obtint plusieurs victoires au dépend des envahisseurs espagnols, lesquelles l’encouragèrent à continuer à se battre pour sa liberté. Des esclaves noirs suivirent son exemple en se révoltant par la suite, notamment sur la plantation de Diego Colomb, gouverneur de l'île, en mettant le feu aux exploitations agricoles et en tuant des espagnols sur leur passage.



Le départ a lieu le 3 août 1492.Les équipages s'inquiètent bientôt de l'absence de terre. Le 10 octobre, ils sont à bout et sur le point de se mutiner. Enfin, après 36 jours de navigation (au lieu des 15 escomptés), la vigie de la Pinta crie pour de bon : «Tierra»!...Les navires accostent sur une petite île des Bahamas. Elle est comme de juste baptisée «San Salvador»(Saint Sauveur) par les Espagnols.



Le 6 décembre 1492, Christophe Colomb et les deux bateaux qui lui restent arrivent en vue d'une nouvelle île que les indigènes appellent Ayiti (Haïti) ou Quisqueya.Les Espagnols la rebaptisent Isla española (dont on fera Hispaniola). L'île séduit les Européens par sa beauté et recèle quelques ressources aurifères dans le sous-sol et les rivières.Dans la nuit de Noël, la lourde Santa Maria s'échoue sur la grève, au nord de l'île.Faute de pouvoir ramener tous les hommes en Espagne, l'Amiral fait construire un fort avec les débris du navire et laisse sur place 39 hommes.



Le vendredi 12 octobre 1492, après deux longs mois de mer, Christophe Colomb pose le pied sur une île des Bahamas. Le navigateur génois croit de bonne foi avoir atteint l'Asie des épices et pour cette raison appelle«Indiens» (habitants de l'Inde) les premiers indigènes de rencontre.




1492 Christophe Colomb se perd dans les mer en voulant aller en Inde pour les commerce des epices il se perd et arrive dans ce que les blanc apelle le nouveau monde,un autre italien comprend que c,est un nouveau monde et depuis luis ont dis americ il s,apelait amerigo vespouchie il croit arriver en inde c,est pour ça que les habitant sont apeler des indien et decouvre Ayiti le 15 decembre 1492« découvre » Haiti.

1492: Les populations natives de l'île sont décimées.Arawak,caraïbe,Tainos certaint colonisa

1493 11 Janvier: . Christophe Colomb repart pour L'Europe. 
Après ses découvertes, Christophe Colomb s'embarqua pour L'Espagne a bord de ses deux caravelles (la Pinta et la Nina). La Santa ayant fait naufrage le 24 décembre 1492.

1494 tout les natif de l’iles d’ayiti des l’age de 13 ans devais payer tout les 3 mois une taxe en OR

1496 : 4 Août, fondation de Santo Domingo de Guzman, première ville des Amériques.

1500 Arriver des premier noirs qui vienne d,Europe qui avait colonizer l,espagne

16ème siècle. L’Espagne avait dû envoyer auprès du cacique un ambassadeur. Barrio Nuevo, délégué par l’empereur Charles Quint, signe un Accord avec Henri. Ainsi, le premier Traité signé en Amérique, l’est sur cette île, au 16ème siècle. Il a nom : Traité du Cacique Henri. Il reconnaît le droit à la liberté au Cacique Henri et à ses compagnons de luttes.

1503…Assassinat de la Cacique Anacaona brûlée vive sur la croix,Une des Reine des cinq caciqua.En 1503, alors qu’elle reçut Nicolas Ovando, gouverneur espagnol en ami, et tel un roi, elle fut trahie par ce dernier. Capturée, Anacaona fut jugée pour crime de haute trahison et condamnée à être pendue publiquement. Le jour de sa pendaison avant qu’on ne lui passa la corde au coup, samba de son état, sans aucune défaillance elle chanta et pria en hommage aux xemès (dieu des indiens). L’assassinat de la Fleur D’or sonna le glas du royaume du Xaragua.

1503 Arrivée des premiers noirs mis en esclavage à Saint,Domingue qui arrive d,afrique

1523 la première rébellion d’esclaves dans l’île,

1533 Le traité signé avec le cacique Henry mis fin aux hostilités entre les Indiens et les Espagnols. Les termes de ce traité incluaient notamment l’autorisation pour le cacique Henry de résider dans le village de Boya, de la garder sous commandement Indien. Là Ils avaient enfin recouvré leur liberté et purent vivre dans la tranquillité. Ils furent au nombre de quatre mille environ. Ce maigre groupe représentait les derniers survivants de la race indienne du génocide des blancs espagnol Italien ect.

1537 nouvelle rebellion d’esclave

1538 : La première université d'Amérique est créée à Saint-Domingue.

1570 a 1630 : L’île fut la première productrice d’or des Antilles,

1644 Valparaiso Port-de-Paix est fondé par les Espagnols St. Domingue

1651 Des milliers de morts surtout les Noirs par une épidémie de petite vérole

1665…Installation du gouverneur Bertrand d’Ogeron qui encourage la venue des premiers engagés français ( « trente –six mois.

1670…L’Espagne cède la partie occidentale d’Hispaniola à la France parce que les boucagnier francais les arcellait a coup de conon ( traité de Ryswick).

Fondation de la ville du Cap Français ,Cap-Haïtien

1679 soulevement des noirs de part au prince sous la conduite de Padrejean qui après avoire tuer sont maitre par enroller d,autres noirs a sa cause pour un soulevement generalles des noirs pour massacre tout les blanc français il se refugia sur iles de la tortue

1683 30 Septembre: .- Expulsion des juifs de Saint Domingue.
Louis XIV s'inclina alors devant la volonté des premiers membres du clergé catholique dans la colonie qui voyaient dans la présence des juifs un obstacle à l'épanouissement du catholicisme en Haiti

1685 29 Septembre: 
Publication du Code Noir à Léogâne 
Promulgué en Mars le Code Noir est un recueil de 60 articles rédigés par Colbert. Le code noir légalise l'esclavage dans les colonies françaises, assimile l'esclave à un bien producteur et assure sa protection comme tel.

1697. 30 Octobre: - Deuxième signature du traîte de Ryswick.
La première ayant été signée un mois plus tôt (20 septembre 1697). Ce traîté conclu entre la France et l'Espagne dans une ville hollandaise près de la Haye nommée Rijswijk, permit à la France de prendre officiellement possession de la partie occidentale de Saint Domingue. Un siècle plus tart, l'île devint une possession française après la signature du traîte de Bâle

1687 Naissance de François Mackandal demeure une référence dans ce domaine. En effet, Dans les montagnes, sous son leadership, les marrons s’étaient organisés pour mener des razzias, la nuit contre les plantations. Il était un leader charismatique et avait le don de rallier les différentes bandes de marron afin de créer une coordination par l’intermédiaire d’un réseau secret et surtout très organisé en impliquant les esclaves des différentes plantations. Par cette stratégie, les esclaves marrons, menés par Mackandal arrivèrent à effectuer plusieurs invasions, incendiant et tuant des colons français propriétaires. De plus, Mackandal avait fait en sorte de créer une psychose chez les blancs, les faisant croire que les esclaves pouvaient les exterminer sinon tous à tout le moins beaucoup par l’empoisonnement. Au total, le groupe de marrons dirigés par Mackandal, tuèrent environ 6000 colons blancs à travers l’empoisonnement et les différentes incursions dans les plantations.

1734. 20 Septembre: - Un incendie détruisit le ville du Cap-Haïtien

1746.- 20 Mai Naissance de Toussaint Breda Louverture 
Il serait né sur l'habitation Bréda près du Cap.

1749. 26 Novembre: Fondation de Port-au-Prince. 
Créée par un acte du Roi de France Louis XV, la ville fut érigée sur l'emplacement de la paroisse de Trou-Bourdet.

1757 le Noirs François Makandal,en voyant l,humiliation que ces frere subit decide de tuer tout les blanc en les enpoisonant pour que les noirs sois libre sont l’action annonce les révoltes futures,il est arreter et mis suir un bucher au Cap –Haitien pour etre bruler vivant il s,en echape et ont entant plus parler de luis .

Naissance de Dessalines est un esclave des plantations, qui naquit à la Grande-Rivière du Nord en 1758. Dans un premier temps, il vécut chez Henri Duclos, un colon blanc propriétaire d'une caféière, avant d’être acheté, par Dessalines, un noir libre, qui lui donnera son nom et lui apprit le métier de charpentier. Tout jeune, il apprit à ses dépens que le système esclavagiste déjà inhumain pour les dociles et les résignés, l’était encore davantage pour les rebelles. En effet, il se révoltait constamment à la fois contre l'inégalité qui régnait à Saint-Domingue et surtout contre l’injustice dont ses frères étaient victimes. Ces agissements lui valurent souvent le prix d’être fouetté ce qui eut pour effet de laminer son pauvre corps au point de laisser de nombreuses cicatrices.

1758 Naissance à Léogane de Épouse de Jean Jacques Dessalines, Claire Heureuse est la première impératrice du pays. Elle est aussi la première des premières dames d’Haïti. Elle fut mariée à Dessalines pendant cinq ans de 1801 à 1806 dates de la mort de ce dernier. Elle lui donna sept enfants, quatre filles et trois garçons dont de paires de jumeaux.

CHRONOLOGIE AYITI II -40 000 A 2008

Chronologie HAÏTIENNE 12OO av JC-1492-2008





38000 Ans En 2005, dans une ancienne carrière située près du volcan Cerro Toluquilla (Puebla au Mexique), des traces humaines vieilles de 38 000 ans ont été découvertes par une équipe britannique sur une couche de cendres fossilisées.



35000 ANS av jc 75 crânes, dont le crâne de Luzia, ont été mis au jour au Brésil 2,3 datés de près de 35 000 ans, soit plus que le site de Clovis, au Nouveau-Mexique, considéré jusqu'alors comme le plus ancien du continent ; ils sont d'aspect africain ou aborigène australien.



12000 A 9000 Ans 250 crânes et squelettes du site de Cerca grande, sont âgés de 9 000 ans à 12 000 ans et sont également de type mélanésien et africain.



9460 ans! On a baptisé cette incroyable découverte «l'homme de Kennewick».



7000 av jc On suppose que les premiers habitants des Antilles furent les Ciboneys. Il y a sept milles ans, ils se seraient installés sur les côtes vénézuéliennes et par bornage auraient gagné les Grandes Antilles. La découverte de pierres polies en Guadeloupe, fait croire que les Ciboneys auraient pu conquérir les Petites Antille



Les Ciboneys (nom venant de l'arawak signifiant « ceux qui habitent des grottes ») sont des Amérindiens des Antilles, situés dans la mer des Caraïbes. Ils habitent les îles d'Hispaniola et de Cuba. Lors des premiers contacts avec les Européens, ils furent relégués dans les régions retirées de ces îles par leurs voisin Tainos qui vivaient eux aussi sur de petites îles proche du littoral.



Environ 1200 ans AV Jésus – Christ : Installation

des tribus Arawaks dans les grandes Antilles.







800 av JC l’iles Ayiti est diviser en cinque cacica la magua,le Huguer,le Xaragua,le Marien

diriger par cinque cacique Caonabo,guacanagarix,guarionex,Anacaona,Cotubanama un géant, fut le recordman de l’arc de cette époque: aucun indien

de son royaume ne pouvait bander son arc gigantesque.







500 et 100 av jc Il y a tout d’abord dans le Golfe du Mexique, ces immenses têtes, ces sculptures monumentales représentant des visages, dont les traits sont manifestement négro-africains (…). Par conséquent, pour le professeur Jean Mazel, il n’est pas possible de nier ce fait vu que sur place, des « Sculptures monumentales représentent des visages dont les traits sont manifestement négro-africains (…). On peut donc affirmer que des Noirs jouissaient, entre 500 et 100 avant J.C, sur les rives du golfe du Mexique, de positions aussi éminentes que celles de rois ou de personnages divinisés » (Présence du monde noir, éd. R. Laffont).





1474- Naissance de la future Cacique ANACAONA fleur D’or

Anacaona est la soeur du cacique du Xaragua Bohéchio, et l'épouse de Caonabo, cacique de la Maguana Anacaona, Nicolas Ovando, le nouveau remplaçant de Bobadilla à Santo Domingo, annonça une visite d'amitié. Flattée par cet honneur, Anacaona, escortée d'une troupe de jeunes indiennes, se porta sur la frontière de son royaume et c'est au chant d'areytos qu'Ovando fut accompagné jusqu'a Yaguana. Et là, Ovando annonça une grande fête pour tous les chefs du caciquat. Durant la fête, alors que les cavaliers espagnols émerveillaient l'assistance par leurs évolutions, soudain, Ovando porta la main à sa croix d'Alcantara. C'était le signal. Tous les chefs du caciquat furent attachés à des poteaux. La reine Anacaona fut ligotée. Réservée à un supplice honteux, elle fut emmenée a Santo Domingo; jugée pour crime de haute trahison et condamnée à être pendue publiquement. Anacaona s'est toujours montrée la femme vaillante du fier Caonabo. Le jour de son supplice, avant qu'on lui passât la corde au cou, sans aucune défaillance, elle chanta et pria en hommage aux Zémès. Avec ce massacre disparut le caciquat du Xaragua.



1492 Naissance du Cacique Henry est le premier grand leader connu de la lutte antiesclavagiste, anticolonialiste en Amérique. L'histoire révèle qu'il savait lire et écrire, et magnait bien les armes à feu des espagnols comme beaucoup de ses compagnons. Il obtint plusieurs victoires au dépend des envahisseurs espagnols, lesquelles l’encouragèrent à continuer à se battre pour sa liberté. Des esclaves noirs suivirent son exemple en se révoltant par la suite, notamment sur la plantation de Diego Colomb, gouverneur de l'île, en mettant le feu aux exploitations agricoles et en tuant des espagnols sur leur passage.



Le départ a lieu le 3 août 1492.Les équipages s'inquiètent bientôt de l'absence de terre. Le 10 octobre, ils sont à bout et sur le point de se mutiner. Enfin, après 36 jours de navigation (au lieu des 15 escomptés), la vigie de la Pinta crie pour de bon : «Tierra»!...Les navires accostent sur une petite île des Bahamas. Elle est comme de juste baptisée «San Salvador»(Saint Sauveur) par les Espagnols.



Le 6 décembre 1492, Christophe Colomb et les deux bateaux qui lui restent arrivent en vue d'une nouvelle île que les indigènes appellent Ayiti (Haïti) ou Quisqueya.Les Espagnols la rebaptisent Isla española (dont on fera Hispaniola). L'île séduit les Européens par sa beauté et recèle quelques ressources aurifères dans le sous-sol et les rivières.Dans la nuit de Noël, la lourde Santa Maria s'échoue sur la grève, au nord de l'île.Faute de pouvoir ramener tous les hommes en Espagne, l'Amiral fait construire un fort avec les débris du navire et laisse sur place 39 hommes.



Le vendredi 12 octobre 1492, après deux longs mois de mer, Christophe Colomb pose le pied sur une île des Bahamas. Le navigateur génois croit de bonne foi avoir atteint l'Asie des épices et pour cette raison appelle«Indiens» (habitants de l'Inde) les premiers indigènes de rencontre.




1492 Christophe Colomb se perd dans les mer en voulant aller en Inde pour les commerce des epices il se perd et arrive dans ce que les blanc apelle le nouveau monde,un autre italien comprend que c,est un nouveau monde et depuis luis ont dis americ il s,apelait amerigo vespouchie il croit arriver en inde c,est pour ça que les habitant sont apeler des indien et decouvre Ayiti le 15 decembre 1492« découvre » Haiti.

1492: Les populations natives de l'île sont décimées.Arawak,caraïbe,Tainos certaint colonisa

1493 11 Janvier: . Christophe Colomb repart pour L'Europe. 
Après ses découvertes, Christophe Colomb s'embarqua pour L'Espagne a bord de ses deux caravelles (la Pinta et la Nina). La Santa ayant fait naufrage le 24 décembre 1492.

1494 tout les natif de l’iles d’ayiti des l’age de 13 ans devais payer tout les 3 mois une taxe en OR

1496 : 4 Août, fondation de Santo Domingo de Guzman, première ville des Amériques.

1500 Arriver des premier noirs qui vienne d,Europe qui avait colonizer l,espagne

16ème siècle. L’Espagne avait dû envoyer auprès du cacique un ambassadeur. Barrio Nuevo, délégué par l’empereur Charles Quint, signe un Accord avec Henri. Ainsi, le premier Traité signé en Amérique, l’est sur cette île, au 16ème siècle. Il a nom : Traité du Cacique Henri. Il reconnaît le droit à la liberté au Cacique Henri et à ses compagnons de luttes.

1503…Assassinat de la Cacique Anacaona brûlée vive sur la croix,Une des Reine des cinq caciqua.En 1503, alors qu’elle reçut Nicolas Ovando, gouverneur espagnol en ami, et tel un roi, elle fut trahie par ce dernier. Capturée, Anacaona fut jugée pour crime de haute trahison et condamnée à être pendue publiquement. Le jour de sa pendaison avant qu’on ne lui passa la corde au coup, samba de son état, sans aucune défaillance elle chanta et pria en hommage aux xemès (dieu des indiens). L’assassinat de la Fleur D’or sonna le glas du royaume du Xaragua.

1503 Arrivée des premiers noirs mis en esclavage à Saint,Domingue qui arrive d,afrique

1523 la première rébellion d’esclaves dans l’île,

1533 Le traité signé avec le cacique Henry mis fin aux hostilités entre les Indiens et les Espagnols. Les termes de ce traité incluaient notamment l’autorisation pour le cacique Henry de résider dans le village de Boya, de la garder sous commandement Indien. Là Ils avaient enfin recouvré leur liberté et purent vivre dans la tranquillité. Ils furent au nombre de quatre mille environ. Ce maigre groupe représentait les derniers survivants de la race indienne du génocide des blancs espagnol Italien ect.

1537 nouvelle rebellion d’esclave

1538 : La première université d'Amérique est créée à Saint-Domingue.

1570 a 1630 : L’île fut la première productrice d’or des Antilles,

1644 Valparaiso Port-de-Paix est fondé par les Espagnols St. Domingue

1651 Des milliers de morts surtout les Noirs par une épidémie de petite vérole

1665…Installation du gouverneur Bertrand d’Ogeron qui encourage la venue des premiers engagés français ( « trente –six mois.

1670…L’Espagne cède la partie occidentale d’Hispaniola à la France parce que les boucagnier francais les arcellait a coup de conon ( traité de Ryswick).

Fondation de la ville du Cap Français ,Cap-Haïtien

1679 soulevement des noirs de part au prince sous la conduite de Padrejean qui après avoire tuer sont maitre par enroller d,autres noirs a sa cause pour un soulevement generalles des noirs pour massacre tout les blanc français il se refugia sur iles de la tortue

1683 30 Septembre: .- Expulsion des juifs de Saint Domingue.
Louis XIV s'inclina alors devant la volonté des premiers membres du clergé catholique dans la colonie qui voyaient dans la présence des juifs un obstacle à l'épanouissement du catholicisme en Haiti

1685 29 Septembre: 
Publication du Code Noir à Léogâne 
Promulgué en Mars le Code Noir est un recueil de 60 articles rédigés par Colbert. Le code noir légalise l'esclavage dans les colonies françaises, assimile l'esclave à un bien producteur et assure sa protection comme tel.

1697. 30 Octobre: - Deuxième signature du traîte de Ryswick.
La première ayant été signée un mois plus tôt (20 septembre 1697). Ce traîté conclu entre la France et l'Espagne dans une ville hollandaise près de la Haye nommée Rijswijk, permit à la France de prendre officiellement possession de la partie occidentale de Saint Domingue. Un siècle plus tart, l'île devint une possession française après la signature du traîte de Bâle

1687 Naissance de François Mackandal demeure une référence dans ce domaine. En effet, Dans les montagnes, sous son leadership, les marrons s’étaient organisés pour mener des razzias, la nuit contre les plantations. Il était un leader charismatique et avait le don de rallier les différentes bandes de marron afin de créer une coordination par l’intermédiaire d’un réseau secret et surtout très organisé en impliquant les esclaves des différentes plantations. Par cette stratégie, les esclaves marrons, menés par Mackandal arrivèrent à effectuer plusieurs invasions, incendiant et tuant des colons français propriétaires. De plus, Mackandal avait fait en sorte de créer une psychose chez les blancs, les faisant croire que les esclaves pouvaient les exterminer sinon tous à tout le moins beaucoup par l’empoisonnement. Au total, le groupe de marrons dirigés par Mackandal, tuèrent environ 6000 colons blancs à travers l’empoisonnement et les différentes incursions dans les plantations.

1734. 20 Septembre: - Un incendie détruisit le ville du Cap-Haïtien

1746.- 20 Mai Naissance de Toussaint Breda Louverture 
Il serait né sur l'habitation Bréda près du Cap.

1749. 26 Novembre: Fondation de Port-au-Prince. 
Créée par un acte du Roi de France Louis XV, la ville fut érigée sur l'emplacement de la paroisse de Trou-Bourdet.

1757 le Noirs François Makandal,en voyant l,humiliation que ces frere subit decide de tuer tout les blanc en les enpoisonant pour que les noirs sois libre sont l’action annonce les révoltes futures,il est arreter et mis suir un bucher au Cap –Haitien pour etre bruler vivant il s,en echape et ont entant plus parler de luis .

Naissance de Dessalines est un esclave des plantations, qui naquit à la Grande-Rivière du Nord en 1758. Dans un premier temps, il vécut chez Henri Duclos, un colon blanc propriétaire d'une caféière, avant d’être acheté, par Dessalines, un noir libre, qui lui donnera son nom et lui apprit le métier de charpentier. Tout jeune, il apprit à ses dépens que le système esclavagiste déjà inhumain pour les dociles et les résignés, l’était encore davantage pour les rebelles. En effet, il se révoltait constamment à la fois contre l'inégalité qui régnait à Saint-Domingue et surtout contre l’injustice dont ses frères étaient victimes. Ces agissements lui valurent souvent le prix d’être fouetté ce qui eut pour effet de laminer son pauvre corps au point de laisser de nombreuses cicatrices.

1758 Naissance à Léogane de Épouse de Jean Jacques Dessalines, Claire Heureuse est la première impératrice du pays. Elle est aussi la première des premières dames d’Haïti. Elle fut mariée à Dessalines pendant cinq ans de 1801 à 1806 dates de la mort de ce dernier. Elle lui donna sept enfants, quatre filles et trois garçons dont de paires de jumeaux.

1777…Interdiction est faite aux Noirs et aux hommes de couleur d’entrer en France.


1779…Des troupes françaises commandées par l’amiral d’Estaing quittent Saint – Domingue pour prêter main-forte aux insurgents américains. Elles sont composées de plus d’un millier d’hommes Noirs et de couleur libres et d’esclaves. Le futur roi Christophe est du voyage. Ils participeront à la bataille de Savannah.

1790 : Au commencement de l’année 1790, l’île de Saint-Domingue, qu’on pouvait regarder comme le paradis terrestre du Nouveau Monde, contenait 793 plantations à sucre, 3.117 à café, 786 à coton, 3.160 à indigo, 34 à cacao, 623 à grains, ignames et autres légumes



1791…Le 14 aout Cérémonie Vodou dite de Bois – Caïman ou plus de deux cent Noirs se sont rasenbler pour jurer aux ancetre et aux esprie de venir en aide pour prendre la liberté aux blanc ou vivre libre ou mourir et révolte d’esclaves difficilement réprimée par les colons et les mulâtres libres.

Apres douze ans de bataille acharner entre les noirs et les blanc exclavagiste l,abolition de l,esclavage est promulguer par Toussaint louverture.

1793 … Proclamation de l’abolition de l’esclavage par le commissaire de la République Sonthonax. La décision est entérinée par la convention quelques mois plus tard.

1795… les Espagnols cèdent la partie orientale de l’île à la France parce que les français lles arcelait sur l,iles de la gonave
( traité de Bâle)

1794-1801.. Ascension de Toussaint Louverture. Nouvel homme fort de Saint – Domingue. Il est nommé général de division par le Directoire, puis lieutenant – gouverneur de la colonie. Il se proclame gouverneur général.

1800. 13 Mars: Dessalines s'accapara de Jacmel après trois mois de siège.
L'insurrection dirigée par Rigaud à la suite de l'attaque de Pétit-Goâve gagna d'autres villes du Sud dont Jacmel. Dessalines, alors adjoint de Tousssaint, assiégea la ville et mit en échec les troupes de Rigaud. Quelques mois après, ce dernier se réfugia en France. Il revint à Saint Domingue avec le corps expéditionnaire de Leclerc.:

1801 Toussaint breda louverture est le gouverneur de la colonie. Il se proclame gouverneur general et fait la premiere constitution pour toute l,iles ll,esclavage est a jamais abollie mais st domingue est une colonie fr pour lui

( ) Mariage de dessaline et de Claire Heureuse

Partie de plusieurs ports de France, l'expédition dirigée par le général Leclerc, beau-frère de Napoléon Bonaparte, arriva à Saint Domingue au commencement du mois de Février de l'année 1802.

2 Février: 
1802. Arrivée de la flotte expéditionnaire française au Cap Haitien 
Leclerc beaufrere dictateur napoleon, chef de l'expédition, somma Henri Christophe, commandant de la ville, de la livrer en 24 heures. Pour toute réponse, Christophe ordonna l'incendie de la ville, préférant ainsi la réduire en cendres plutôt que d'obéir Leclerc.

17 fev Lecler publie une proclamation qui met hors la loi Toussaint et Henry Christophe

24 Fevr bataille de ravine a couleuvre

1802…Débarquement des troupes de Leclerc, beau-frère de Bonaparte. Annonce du rétablissement de l’esclavage. Arrestation et déportation de Toussaint.

23 Février: 
1802.- Combat de la Ravine à Couleuvres.
A environ dix kilomètres de la ville des Gonaives, cet étroit passage fut le théâtre de la première grand bataille entre l'armée indigène sous les ordres de Toussaint Louverture et une division de l'armée expéditionnaire commandée par Rochambeau. Malgré l'intrépidité des troupes indigènes, elles furent écrasées par les expédionnaires.

Rochanbeau introduit les chien bouledog boufer de negre qu,il a amener de cuba il fait des demonstration avec des negre vivant qu,il donne aux chien après les avoir ouvers le ventre

1802.( ) Soumission de Toussaint Louverture au général Leclerc.
Après les trahisons de ceux qui lui avaient été jusque là fidèles, Toussaint Louverture décida de se rendre à Leclerc, qui lui permet de se retirer dans ses terres à Ennery.
"A l'aube de [ce 6 mai], il met son plus bel uniforme, son tricorne à plume et ses trente-cinq décorations. Sur un plateau qui domine le Cap, il s'arrête et fait mettre les quatre cents hommes qui l'ont accompagné à cheval sur deux rangs. Il leur parle pour la dernière fois en homme libre, d'une voix douce et calme troublée par l'émotion. Après avoir embrassé longuement plusieurs officiers, il confie le détachement au capitaine Morisset et lui ordonne de descendre sur le Cap et de se mettre à la disposition de Leclerc."

le 6 Juin 1802 arestation de Toussaint dans un guette apent

1803. 7 Avril: Mort de Toussaint Louverture 
Arrêté le 6 Juin 1802 dans un guet-apens tendu par les hommes du Général Leclerc, Toussaint est immédiatement embarqué pour la France (Voir: 11 Juin 1802). Une fois arrivé, on l'enferma au Fort de Joux, réputé pour ses cachots froids et humides. C'est donc là, qu'il finit ses jours.

1803 14 15 16 17 18 mai Congrès de l'Arcahaie et adoption du drapeau haitien Rassemblement de quatre jours débuté le 14 a gonaive présidé par Dessalines dont l'autorité fut reconnue par les chefs mulâtres. Durant ce congrès le drapeau bleu et rouge fut officiellement adopté.

19 Mai Capture de certains des délégués au Congrès de l'Arcahaie.
"Le lendemain de la conférence, Cangé, Lamarre et leurs compagnons s'embarquèrent pour retourner dans la plaine de Léogâne. Une croisière française donne la chasse à la flottille. Une barge demeurée en arrière allait être capturée.

Laporte, homme de couleur, qui la commandait prend dans ce moment une héroïque résolution. Il exhorte ses compagnons à mourir plutôt que de tomber au pouvoir des Français. On défonce la barge.

Laporte se brûle la cervelle et ses matelots s'engloutissent sous les flots aux cris de Vive la Liberté, Vive l'Indépendance.

1803 Avant la derniere bataille pour l’indepandance“La bataille de vertiere “la plus grande bataille du peuple noirs Kemit qui vons devenirs des AYITIEN

Le generale Jean Jacques Dessalline retourne aux Bois caiman avec ces genereaux pour priere les ancetre les Vodou,les Netjers et les dieux de nos peres et meres Africain ceux d’Egype,du Benin,de la Nigeria,ceux du Soudan,de l’Etiopie du passer du present et du future pour leurs demander de nous aider de nous secourir de nous accorder la victoire pour le peuple noirs sur l’iles de st domingue qui as tant soufer de la barbarie et de la ferociter blanche qui as dejas exterminer un peuple tout antier et qui s’aprette as exterminer les Anfants et petit enfants d’Afrique en retablisent léesclavage a st dominque mais la priere et la ceremonie de Dessaline est entendue Campagne victorieuse des troupes menées par Dessaline sur l’armée française

18 Novembre: 
1803. Bataille de Vertières. 
Bataille décisive de la guerre de l'Indépendance d'Haiti devant conduire à la capitulation des troupes françaises.

2 Décembre: 
1803. Capitulation des troupes françaises au Môle Saint Nicolas.
Ironie de l'histoire. La colonisation, qui débuta au Môle Saint Nicolas, avec le débarquement des Espagnols le 6 Décembre 1492, prit pratiquement fin, avec cette capitulation, au même endroit.

Novenbre la bataille est fini les noirs sont victorieur

1804.Le 1e Janvier 1804, sur la place d’arme de la ville de gonaïve proclamation de l’indépendance de la premiere republique negre dans le monde,LA REPUBLIQUE HAÏTI

8 Octobre: 1804. Couronnement de Dessalines comme Empereur d'Haiti. 
Il prit le nom de Jacques 1er. "Des marchands de Philadelphia lui ont apporté la couronne à bord du vaisseau américain "Connecticut". L'habit de la cérémonie a été amené de la Jamaïque sur une frégate anglaise. Le nouvel empereur fait son entrée triomphale dans une voiture attelée de six chevaux, cadeau de l'agent Anglais Dyden. Salué de salves d'artillerie de toutes les batteries de la ville (Marchand), Jacques 1er est acclamé par l'armée et tout son peuple. A l'église, où le cortège se rend après la cérémonie de l'autel de la patrie, le père Corneille Brelle célèbre la messe suivie de Te Deum. Le soir se termine par de grande réjouissances populaires

1805 Jean Jacque fait l’invention de la population qui s’ellevent a 3980 ames Larmer reguliere de 15000 hommes don’t 1500 cavalier

1806 le 17 Octobre. L,enpereur Dessalines est prie dans une ambuscade tendue par AA dans la ville acayier aux pont rouge, sont plus fidel ami et soldat Charlotin Marcadiere meure aussie en voulant et essayant de le sauver le peuple haitien et le peuple noirs tout entier lui rend homage chaque jours pour avoir essayer de sauver sont enpereur, jean Jacque Dessaline, celui qui as sortie les noirs de l,esclavage de la barbarie du genocide de l,extermination qu,avait preparer les blancs contre les population Noirs dans le monde

27 Décembre: 
1806. Constitution de 1806 
 Une assemblée constituante réunie à Port-au-Prince adopta une constitution. Celle-ci créa les trois branches du gouvernement avec un pouvoir exécutif délégué à un magistrat dénommé Président d'Haiti, un pouvoir législatif résidant dans un Sénat de 24 membres et un pouvoir judiciaire composé de juges inamovibles, à l'exception des juges de paix. C'est en vertu de cette constitution que fut élu Henri Christophe. Voir: 28 Décembre 1806)

28 Décembre: 
1806. Election d'Henri Christophe comme président d'Haiti. 
Sous l'égide de la Constitution voté la veille, Henri Christophe est élu président par l'Assemblée Constituante. Se méfiant des gens de l'Ouest et de la constitution, il refusa de siéger à Port-au-Prince. Une guerre civile entre le Nord et l'Ouest éclata et conduisit à la scission du pays.

1807. Bataille de Sibert. 
Cette bataille opposa les forces armées de Pétion à celles de Henri Christophe. Ce dernier assiégea Port-au-Prince pendant une semaine avant de repartir pour le Nord où résida son gouvernement

18 Avril: - Loi créant la première force de police.
Le premier corps de police fut établi à Port-au-Prince., composé de seulement 25 hommes commandés par un capitaine et un lieutenant. Ces policier qui s'occupaient surtout de l'hygiène et de la tranquillité des rues, portaient un uniforme bleu à boutons blancs, une épée et un chapeau retapé.

1811 2 juin Couronement du roi H Christophe

1807-1820 … Scission du pays.



1807 Au nord, royauté de Henry Christophe 1er il vas gouverner son pays avec le systeme edutation Anglais des professeurs vons meme venir de l’Angleterre



1808 1815 Construction de la Citadelle Laferrière Par le roi Henry Christophe













1807 1820 aux sud republlique de alexandre petion











1808: les Espagnols récupèrent la partie orientale de l'île cédée à la France en 1795.

1820 Jean Pierre Boyer, le successeur de Pétion, réunifie le nord et le sud en 1820



1822 9 Février Entrée triomphale de Boyer à Santo Domingo. 
Les clés de la ville lui furent présentées sur un plateau d'argent, et en plus d'une salve de 21 coups de canon, un Te Deum fut chanté en son honneur par Don Pedro Valera, archevêque de la ville.Jean Pierre Boyer conquiert la partie espagnole l’iles de st domingue est désormais reunifier toute l’iles est la repuplique d,Haiti et elle le resteras pandant 22 ans sous la presidances de jpb



1825. 17 Avril: - Ordonnance de Charles X reconnaissant l'Indépendance d"Haiti. 
En échange de la reconnaissance, cette ordonnance prévoyait le payment d'une idemnité par Haiti. En effet, l'article 2 se lisait ainsi: 
"Les habitants actuels de la partie française de Saint Domingue verseront à la caisse fédérale des dépots et consignations de France, en cinq termes égaux, d'année en année, le premier échéant au 31 décembre 1825, la somme de cent cinquante millions de francs, destinée à dédommager les anciens colons qui réclameront une indemnité."

1844:les dominicain preinne leurs indepandances sous le patronage de la vierge marie et des pays ocidentaux aider de l,espagne la france ect

L,iles d,ayiti est séparée en deux États :

la République d'Haïti et la République dominicaine.



1849 Faustins Soulouque est elut president de Haiti



1849. La Chambre des députés conféra au président Faustin Soulouque le titre d'Empereur d'Haiti.





1859 Faustin Soulouque prend le pouvoir à Haïti et se proclame empereur





1878 31 Décembre: Décès à Kingston, Jamaique, de Nicolas Geffrard. 
Né à Anse-à-Veau le 23 Septembre 1803. Geffrard fut président d'Haiti du 18 Janvier 1859 au 13 Mars 1867, quand il prit, avec sa famille, le chemin de l'exil.



La conférence de Berlin fut l’organisation et la collaboration européenne pour le partage et la division de l’Afrique. Cette conférence débuta le 15 novembre 1884 à Berlin et finit le 26 février 1885. À l'initiative de Bismarck, l’Allemagne, l’Autriche-Hongrie, la Belgique, le Danemark, l’Espagne, la France, la Grande-Bretagne, l’Italie, les Pays-Bas, le Portugal, la Russie, la Suède-Norvège et la Turquie ainsi que les Etats-Unis y participèrent. Une conférence antérieure 1 initialisa le débat sur la conquête des Congos 2 et amorça ainsi le début des luttes coloniales. La conférence de Berlin aboutit donc à édicter les règles officielles de colonisation. L’impact direct sur les colonies fut une vague européenne de signature de traités engendrant des massacres afin de les obtenir. Pendant de longues années, l'intérieur du continent africain, souvent difficile d'accès, n'a pas intéressé les puissances européennes qui se contentaient d'y établir des escales ou des comptoirs de commerce. Dans la seconde moitié du xixe siècle, l'appétit européen est stimulé par la découverte de richesses insoupçonnées, à l'image des mines de diamants du Transvaal découvertes en 1867. Durant les années 1880, les visées colonisatrices européennes en l'Afrique s'intensifient jusqu'à créer des tensions entre les différentes puissances. En 1881, la France occupe la Tunisie3, froissant au passage la susceptibilité de l'Italie, pose ses premiers jalons dans les territoires constituant l'actuelle République du Congo et s'empare de la Guinée en 1884 après en avoir évincé les portugais. En 1882, le Royaume-Uni s'empare de l'Égypte, une province de l'Empire ottoman avant de se tourner vers le Soudan et l'actuelle région du Somaliland (que les colonisateurs dénommeront en 1884 Somalie britannique). En 1885, l'Italie prend possession d'une partie de l'Érythrée alors que l'Allemagne déclare en 1884 avoir pris possession du Togo, du Cameroun, du Sud-Ouest africain (l'actuelle Namibie) et de l'Afrique orientale allemande en 1885.

La concurrence engendrée par l'exploration du bassin du Congo (1874 - 1877) d'Henry Morton Stanley, qui efface l'une des dernières terra incognita de la carte du continent 4, conduira à l'organisation de la conférence de Berlin. En 1876, la conférence de géographie de Bruxelles (12-19 septembre 1876) avait été convoquée par le roi des belges Léopold II afin d'envoyer des expéditions au Congo pour les motifs présumés d'y abolir la traite des Noirs maintenue par les musulmans et, selon ses propres termes, de « civiliser » le continent africain. Elle aboutira à la création de l'Association internationale africaine. Dès 1878, le roi Léopold II de Belgique saisit l'occasion de la traversée du continent de Stanley en l'invitant à se joindre aux travaux de la nouvelle association.

En 1878, la Belgique a aussi créé la Association internationale du Congo qui présente des objectifs plus explicitement économiques ; elle reste toutefois en relation avec l'Association internationale africaine qui lui offre un paravent philanthropique. Stanley est chargé de retourner au Congo avec la mission secrète d'établir un État, le futur État indépendant du Congo, dont il serait le souverain au nom de l'Association internationale africaine.

Dans le même temps, la France a affirmé son intérêt pour la région : l'officier Pierre de Brazza a remonté le bassin du Congo pour fonder Brazzaville en 1881. Le Portugal, qui s'appuie sur des traités antérieurs signés avec l'Empire Kongo, revendique une souveraineté sur ces mêmes territoires. Il passe le 26 février 1884 un accord avec le Royaume-Uni pour bloquer l'accès de l'océan Atlantique à l'Association internationale du Congo. Le Portugal sentant qu’il allait rapidement être évincé d’Afrique émit l’idée d’une conférence internationale pour le partage de cette région. L’idée fut immédiatement reprise par l’Allemagne avec le chancelier Bismarck qui convoqua la Conférence de Berlin le 14 novembre1884.



Découpages bilatéraux [modifier]

. Portugal - Royaume-Uni : le gouvernement portugais présente un projet connu sous le nom de « Carte rose » dans lequel les colonies de l'Angola et du Mozambique étaient réunies sur un axe est-ouest. Tous les pays réunis, à l'exception du Royaume-Uni, sont prêts à entériner ce projet. En 1890, le gouvernement britannique, en violation du traité de Windsor et du traité de Berlin lui-même, lance un ultimatum qui force les Portugais à se retirer de la zone située entre les deux colonies.

. France - Royaume-Uni : une ligne courant depuis Say au Niger jusqu'à Baroua, sur la côte nord-est du lac Tchad, détermine la zone dévolue à chacun des deux pays. La France se voit doter du territoire situé au nord de cette ligne, et le Royaume-Uni la zone au sud de la limite. Le bassin du Nil reste la propriété des Britanniques. De plus, entre le onzième et le quinzième degré de longitude, la frontière passera entre le royaume du Ouaddaï, qui sera français, et le Darfour au Soudan, qui sera britannique. En réalité, une zone tampon de 200 kilomètres est mise en place entre le vingt-et-unième et le le vingt-troisième parallèle.

. France - Allemagne La zone située au nord de la ligne formée par l'intersection du quatorzième parallèle et Miltou est considérée comme française, celle située au sud est allemande.

. Royaume-Uni - Allemagne La ligne de démarcation entre les colonies des deux pays est formée par une ligne passant par Yola, sur la rivière Bénoué, Dikoa, en remontant jusqu'au lac Tchad.

France - Italie L'Italie se voit attribuer la zone comprise dans le quadrilatère formé par le Tropique du Cancer, le quinzième parallèle, et les dix-septièmes et vingt-et-unièmes







1904. Célébration grandiose du premier centenaire de l'Indépendance
Le général Nord Alexis et son gouvernement réhaussèrent cette célébration en choisissant la ville et l'endroit ou fut signé l'acte de l'indépendance comme le point focal des festivités.

1915:les etat unis d,americ anvayie haiti après avoire coronpue des haïtien en agent double de vendre leurs pays

1915. Vol à mains armées à la Banque d'Haiti par la Marine Américaine. 
Un croiseur américain débarque un détachement de soixante-cinq Marines (Américains) armés de matraque et de révolvers. Ils se dirigent vers la banque, se saisissent de 500.000 dollars valeurs or, les transfèrent à bord du croiseur. Ce dernier fait voile pour New York. [ Diederich, p. 41]

30 Août:1915 Charlemagne Péralte refusa d'obéir les Américains. 
Charlemagne Péralte rencontra "pour la première fois les Marines ... à Léogâne, ou, en sa qualité de commandant de l'arrondissement militaire, il [refusa] obstinément d'amener le drapeau haitien et de rendre les armes sans un ordre formel venant du président Dartiguenave lui-même

1917. 11 Octobre: Attaque de la maison du chef américain de la gendarmerie de Hinche.
"Les autorités américaines prirent pour pretexte cette attaque pour arrêter Charlemagne Péralte et son demi-frère, le général Saül Péralte. Avant de conduire à pied, les frères Péralte à Ouanaminthe où ils devaitent être jugés par la Cour prévôtale, les américains firent incendier la maison de Charlemagne et piller celle de Saûl





1918.- Evasion de Charlemagne Péralte de la prison du Cap-Haitien 
"Pendant que se répandit le bruit de sa fuite, Charlemagne se réfugia à la Rue 4 chez son camarade Gabriel Sémonville... qui lui procura des vêtements de femme avec lesquels il se déguisa pour [laisser la ville].



1919 : Après deux années de résistance héroïque contre l’occupation américaine à la tête d’une armée forte de plusieurs dizaines de milliers de paysans, dénommée Cacos, Charlemagne Péralte est abattu dans la nuit du 31 octobre 1919, à l’âge de 33 ans, par un comandant officier américain Hermann Hanneken a cause de la trahison de Jean Baptiste Conzé. Son corps, crucifié et exposé sur une porte, accompagnée du drapeau haïtien, sera montré sur la Place de la cathédrale du Cap-Haïtien et cette photo sera distribuée par les occupants afin de terroriser la population et démobiliser la résistance.



1920 (19 mai) : Assassinat de Benoit Batraville qui, après la mort de Charlemagne Péralte avait pris la tête du mouvement des Cacos. Cet assassinat met fin à la rébellion des Cacos.



1929 (6 Décembre) : Massacre de manifestants par des marines américains aux Cayes. En cette année 1929, alors que l’occupation américaine durait depuis près de 14 ans, des manifestations s’organisèrent un peu partout, bien souvent suivies ou précédées de grèves générales. A l’occasion de l’une de ces manifestations dans la troisième ville du pays, les marines américains ouvrirent le feu sur les manifestants faisant 12 morts et des dizaines de blessés. Ce massacre fut condamné internationalement, ce qui poussa le président Américain, Herbert Hoover, à mettre sur pied une commission d’enquête et de révision dirigée par W. Cameron Forbes, d’ou son nom de "Commission Forbes".



La resistance haïtienne vas partir des campagne et Charlemagne peralte et des centaine de resistant vons laisser leurs vie pour la liberté du peuple

1934 21 août : Les troupes américaines quittent Haïti. Le bicolore national flotte à nouveau sur les Casernes Dessalines d’où il avait été descendu en 1915.



1937 4 Octobre: 
1937. Début du massacre des Haitiens en République Dominicaine. 
Sous les ordres du dictateur Trujillo, l'armée et la police dominicaines se lancèrent, à l'échelle nationale, dans une tuerie visant à éradiquer les ressor